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Ceyreste angel

"Ce félin qui glisse,sublime,m'entraine sur la piste..."

Ceyreste angel - AMERIGO/GHILARDI
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 Mon cœur n’est pas d’ébène,il s’effrite, il implose,

quand s’éloigne la fille aux mille proses…    

Mon cœur n’est pas d’ébène, il s’effrite, il implose,

quand s’éloigne la fille aux mille proses…

Ceyreste angel

Ceyreste angel

Ceyreste angel 

 

Mon cœur n’est pas d’ébène, il s’effrite, il implose,

quand s’éloigne la fille aux mille proses…    

Mon cœur n’est pas d’ébène, il s’effrite, il implose,

quand s’éloigne la fille aux mille proses… 

 

Dans les rues de faïence,

blanche et noire d’apparence,

Dans les rues de Ceyreste, j’ai revu un ange.

Mille instants de douceur,

toute une journée sans heure,

Sans  minute, sans seconde chance….

 

Ce félin qui glisse, sublime, m’entraîne sur la piste,

des saltimbanques sales et de leurs musiques.

Sans me frôler, sans me blesser,

comme une reine qui pique,

Comme un roi j’abdique,

comme un roi j’abdique…

 

Ceyreste angel

Ceyreste angel

 

Comme un roi j’abdique…

Tu abdiques…

 

 

 

 

(Aurélie Ollivier / Stéphane Ghilardi) 

Dans les rues de faïence,

blanche et noire d’apparence,

Dans les rues de Ceyreste, j’ai revu un ange.

Mille instants de douceur,

toute une journée sans heure,

Sans minute, sans seconde chance….

 

La joie est dans ses yeux qui inondent mon âme,

Par ses gestes harmonieux, presque admirables.

Elle me laisse deviner, sans rien dévoiler,

Ses beautés cachées…insaisissable.

Ceyreste angel…

Ce félin qui glisse, sublime, m’entraîne sur la piste,

des saltimbanques sales et de leurs musiques.

Sans me frôler, sans me blesser, comme une reine qui pique,

Comme un roi j’abdique, comme un roi j’abdique… 

 

Mon cœur n’est pas d’ébène, il s’effrite, il implose,

quand s’éloigne la fille aux mille proses…    

Mon cœur n’est pas d’ébène, il s’effrite, il implose,

quand s’éloigne la fille aux mille proses…

Ceyreste angel…

 

Et de ses doigts d’artiste, elle peint en couleur,

la vie et les cœurs des hommes tristes…

Et de ses doigts d’auteur, elle s’allonge nue,

sur le papier, tout en douceur…

 

Le rideau est levé, le spectacle est fini.

La reverrai- je un jour ?

La reverrai-je ainsi ?  

Caresser ses ailes ne m’est plus permis.

Mes yeux se ferment, mes yeux se noient…

où es tu ?où tu vas…

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