STEPHANE GHILARDI
(auteur-compositeur)
Merci AllY
"Tu vois le blues danser avec la soul..."
Toutes ces soirées d’hiver allongé sur un canapé,
les chips, mon revolver
et la télécommande qui disparaît.
J’envoie sur “on“ te voilà petit bout de femme,
t’es aussi fine que la pluie …
Comment vas-tu Ally ?
Presque la trentaine et chaque fois dans ce bar,
tu vois le blues danser avec la soul.
Stoppe la rengaine, réagis, tous tes hommes se barrent.
Tu bois du blues mais sans être saoule,
Le bonheur n’est jamais entier !
Toujours éparpillé…
La Louisiane est-elle une femme ?
Juge au barreau, ton scénario.
New-York s’endort, tu éteins la flamme de l’enfer !
La Louisiane est-elle une femme ?
Suis-je condamné à te regarder ?
Je serai là, la semaine d’ après,
Devant… Ma télé…Ma télé…Ma télé…
Je vois la neige tombée dans mon écran,
Quel sortilège, j’ai dû m’endormir comme un grand !
Si je pouvais enfin rêver tout contre toi,
J’oublierais pour une fois…
Que tu n’existes pas…
Merci Ally ! (Que tu n’existes pas…)
Merci Ally ! (Tout contre toi…)
Merci Ally ! (Que tu n’existes pas…)
Merci Ally !
Presque la trentaine et chaque fois dans ce bar,
Tu vois le blues danser avec la soul.
Stoppe la rengaine, réagis, tous tes hommes se barrent.
Tu bois du blues mais sans être saoule,
le bonheur n’est jamais entier…
Toujours éparpillé.
(Aurélie Ollivier / Stéphane Ghilardi)